Date de sortie : 12 octobre 2011 · Durée : 100 min · Liste : Film 2011
Impression globale | 7.6 |
Histoire/scénario | 7.3 |
Acteurs | 8.8 |
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Synopsis : Hollywood 1927. George Valentin est une vedette du cinéma muet à qui tout sourit. L'arrivée des films parlants va le faire sombrer dans l'oubli. Peppy Miller, jeune figurante, va elle, être propulsée au firmament des stars. Ce film raconte l'histoire de leurs destins croisés, ou comment la célébrité, l'orgueil et l'argent peuvent être autant d'obstacles à leur histoire d'amour.
Réalisateurs : Michel Hazanavicius · Casting : Jean Dujardin (George Valentin), Bérénice Bejo (Peppy Miller), John Goodman (Zimmer), James Cromwell (Clifton), Malcolm McDowell
Un film qui nous laisse sans voix ;)
c'est un film a part tout en silence et en musique il nous transporte dans les années 20 comme si on y était !!!
franchement bravo pour l'audace et le courage de sortir un film en noir et blanc et muet qui plus ai en 2011 !!
et un grand bravo aux acteur dujardin et béjo qui on fait la une performence d'acteur surtout les claquettes !!! aller le voir c étonnant
Pas du tout amateur de cinéma muet j'avais un peu peur de ne pas aimé mais c'est vraiment une très bonne surprise ! Un duo Dujardin-Béjo exceptionnel et un film que j'ai vraiment apprécié jusqu'au bout notamment dans la partie "dramatique"
Ma critique : http://www.youtube.com/watch?v=3L9byvBdpuA
J'ai vu toute tes critiques sur youtube et elle sont géniale !
super film, super acteur , supert tout quoi, un bon film à allé voir
The Artist
De Michel Hazanavicius
Avec Jean Dujardin, Bérénice Béjo, James Cromwell, John Goodman
2011, 1h40, Tous Publics
Réalisé par Michel Hazanavicius, à qui l’on doit notamment le très bon « La Classe Américaine » mais aussi les décevants OSS 117, qui au passage rencontrèrent des avis plus mitigés, The Artist constitue un bel hommage au cinéma muet, qui ont fait le succès entre autres de Mister Chaplin et autres Fritz Lang. A travers les yeux d’un Jean Dujardin inspiré par son rôle et d’une Bérénice Béjo au sourire éclatant, le réalisateur respecte les caractéristiques propres au genre auquel il s’apparente ici : comiques de situation nombreuses, mimiques des plus charismatiques et mélodies au piano des plus entraînantes. Complété par John Goodman (O’Brother), Penelope Ann Miller (Un Flic à la Maternelle) et James Cromwell (La Ligne Verte), le reste du casting rajoute une pincée de sel dans un plat qui ne demandait qu’à prendre davantage de goût. La présence de Malcolm McDowell, unique soit-elle, figure comme la cerise sur le gâteau, un gâteau dont les origines proviennent surtout de « Chantons sous la Pluie » et du « Chanteur de Jazz ». Bien que la décadence progressive du personnage de George Valentin soit mise en avant, l’on suit parallèlement la carrière en escalier de la belle Peppy Miller, à travers un récit qui déjoue les apparences introduites lors de l’exposition des personnages, l’un prenant la place de l’autre. Il est toutefois possible de bouder le film l’heure atteinte, manquant d’opacité et d’attache : baisse de rythme rime avec perte d’intérêt. Fort heureusement, le regain revient rapidement et offre son lot de rebondissements en tous genres. L’idée d’introduire furtivement et durablement le son dans le film, ainsi que les dialogues finaux qui trahissent les voix des acteurs, en passant par un numéro de claquettes éblouissant, sont autant de procédés entrepris par le réalisateur pour faire de The Artist l’hommage qu’attendait toute une génération et tenter de séduire un plus large public, à défaut d’une 3D souvent très mal exploitée.
15/20
Matt240490 (tombé sous le charme de B. Béjo)
La 3D ??? Le film n'est pas en 3D !
Le film n'était pas en 3D!
Et n'oublie pas le "attention spoiler" la prochaine fois stp!
T'as pas mis de lunettes 3D en mattant le film quand même ?!?
je parlais de la 3D en général
Chef d'oeuvre incontestable! Pour mon retour dans les salles obscures (Ca fait un bail pour moi lol!) j'avais envie d'aller voir un film que j'ai qualifié à la fin d'authentique! THE ARTIST c'est un cinéma d'un autre temps et moi... çà me parle! Surtout que j'adorais les oeuvres muet et noir et blanc de l'époque Laurel et Hardy, Buster Keaton, Chaplin... les films fantastique de la Hammer Bela Lugosi, Murnau, Lang... et c'est un exploit qu'à fait Michel Azanavicius de nous refaire partager cette magie dans une époque baignée par la facilité des adaptations, remake, reboot sans originalité scénaristique. THE ARTIST c'est un film truffé de plans simples et ingénieux avec des tas de gag typiquement de cette époque emmené par MOonsieur Jean Dujardin et la pétillante Bérénice Bejo qui sont l'atout français de cette collaboration américaine. THE ARTIST est une comédie dans toute sa grandeur, en format d'image 3/4, gros plan de l'époque pour exploiter au maximum les divers expressions du visage, danse de cabaret. THE ARTIST c'est aussi un œuvre qui nous rappelle que ce cinéma aussi a été frappé par la première grande crise financière dans les années 30, portrait sombre d'une époque dure pour la population mais aussi pour les artistes qui passent du jour au lendemain de la gloire à la chute... . THE ARTIST c'est pour finir emballé dans un histoire romantique entre un couple d'individu qui se croisent chaqu'un selon le succès de l'autre et qui rappelle les valeurs perdus de nos jours, celui de l'entre-aide. Une œuvre magnifique en somme à voir absolument ou à redécouvrir" ;°)
Le format de l'image c'est 4/3 et pas 3/4 ^^
Ahahah j'ai tapé trop vite! (la peur de l'actualisation de la page web mdr)
Le duo béjo-dujardin est énorme ! c'est quand même à part, mais j'ai bien aimé !
Un très beau film qui permet d'avoir une vision autre du cinéma et qui tient en haleine son public à travers un silence à certains moments assez prenant.
Un grand bravo à Jean Dujardin qui confirme son statut d'acteur "touche à tout", sur qui le film repose entièrement et dont le rôle convient totalement.
Moins coinvaincu d'un scénario assez simpliste et auxquel on s'attend, mais une belle impression finale.
Je pense que c'est un film à voir.
Très sympa à regarder, mais de grandes longueurs durant lesquelles rien ne se passe et pas assez de vrai spectacle à mon avis, pour un film du genre ! Quitte à faire un film muet des années 20, ils auraient pu ajouter beaucoup plus de danse, de sketchs durant lesquelles on rigole.. Parceque là, regarder Dujardin déprimer pendant 30min...... Enfin bon ! Un peu fade j'ai trouvé !
ichel Hazanavicius a eu une très bonne idée de ressortir le pur cinéma muet, parce qu'il rend hommage aux grands artistes comme Charlie Chaplin ou Pierre Étaix en respectant les marches à suivre pour se replonger dans la belle époque. Jean Dujardin a accompli une belle performance avec un rôle plus respectable, mais il n'est pas encore assez talentueux pour devenir le nouveau Chaplin et possède encore quelques défauts et il pourra les surmonter avec plus d'expérience dans des films intelligent. Côté scénario ils ont essayé de faire dans la simplicité, mais on s'ennuie un peu comme il y a peu d'éléments révélateurs. L'évolution des techniques ont toujours fait peur aux personnes qui étaient très attachés à l'ancienneté comme nous le montre le film avec le passage au cinéma parlant qui fait aussi référence au célèbre "Chantons sous la pluie", mais il ne possède pas assez de qualités requises pour être digne de ces ancêtres. Un film qui manque de la puissance dans les jeux comme on ne ressent aucune émotion, mais le côté comique ne nous lasse pas grâce à des blagues plutôt attachantes qui séduiront le public.
"The Artist" Que dire sur "The Artist". Essayons de rester bref et de ne pas écrire un roman.
L'histoire : Classique mais efficace. L'on suit principalement la chute d'un acteur à succès du muet qui ne croit en l'avenir du parlant. En parallèle, l'on Peppy Miller, jeune actrice débutante devenir une star dans le Hollywood des années 20. Bien que charmante, l'histoire contient des longueurs, le réalisateur insiste un peu trop sur la longue dépression de Jean Dujardin et n'explore pas assez certains pans de la carrière de Bérénice Béjo. Le film est un peu poussif également, exagérant certaines séquences, creusant trop pour essayer de nous tirer une larme alors que la simplicité aurait fonctionné.
Les acteurs : Jean Dujardin est comme à son habitude, très bon mais pas transcendant. Perso, je ne vois rien dans ce rôle de spécialement difficile pour lui. Il a fait du Jean Dujardin, par moment je retrouvais les mêmes mimiques que son personnage de "OSS 117"
Bérénice Béjà est bien sûr magnifié par son réalisateur de mari même si elle est très bonne dans son rôle, elle n'échappe pas par moment par un côté théâtral mais excusons cela en se disant que les acteurs de l'époque jouaient comme cela.
Même si John Goodman est très bon, il en fait un peu trop vers la fin du film. Non l'acteur ou plutôt les acteurs vraiment très bon dans ce film sont : 1) Le chien.
2) James Cromwell incroyablement juste et magnifique dans son court second rôle.
La réalisation : Maitrisé ! Rien à dire, Michel Hazanivicius connaît par coeur son petit manuel de "comment faire un film" édité dans les années 20/30. On peut regretter un manque d'audace. Le film justement reste trop calqué sur ceux des années 20/30, sans chercher à réellement se démarquer. Bon c'est un parti pris que je respecte.
En bref, un bon film pour les spectateurs avertis tout de même (y en a qui aime pas le noir et blanc muet) mais je pense surtout un film fait avant tout pour les cinéphiles.