Impression globale | 4.5 |
Histoire/scénario | 4.0 |
Acteurs | 2.5 |
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Synopsis : Une jeune lycéenne se suicide après qu'une vidéo compromettante sur elle ait été publiée sur Internet. Un an plus tard, six de ses amis se connectent, un soir, sur skype, pour "tchater" entre eux. Mais une septième personne, inconnue des autres, se connecte également. Cet intrus se montre très vite sous un visage inquiétant et menace les six amis de tuer le premier qui se déconnectera. Peu à peu, les événements tragiques qui ont marqué la bande, un an plus tôt, refont surface et se montrent sous un nouveau jour.
Réalisateurs : Levan Gabriadze · Casting : Cal Barnes, Matthew Bohrer, Courtney Halverson, Shelley Hennig, Renee Olstead, William Peltz, Mickey River, Heather Sossaman, Moses Jacob Storm, Jacob Wysocki
Je comprends pas comment sa ce fait que se film soit noté puisque personne ne l'a fait ?
Admin écrivait il y a 12 heures 11 minutesrn@mohykanrnPour les notes, ce n'est pas un bug mais une note par défaut basée sur les reviews US, ce n'est pas une note aléatoire. Idem pour les séries. Seules vos notes comptent ensuite, elles effacent cette première note qui n'est pas prise en compte dans le calcul.
Ok
je viens de voir le films on reste sur ça fin qui est le tueur ,)
C'est un film qui à du couté grand max 20$ (pour les poches de sang, les pétard,...) (en vraie y disent 1.000.000 mais j'y crois pas).
Y a pas de casting on dirait un film de lycéens sur Skype !
Et qui à du prendre aller grand max 7 jours de tournage et de montage mdr.
Et le pire c qu'il a rapporté plus de 41.000.000$ ptn.
Y a des idées mais y a pas d'histoire, pas de décors, pas de méchant(ou de ghost), ...
Très décus
Allez, une vraie critique maintenant parce que celle du dessus...
On a tendance à trouver les films d'horreur et d'épouvante trop banals, manquant nettement d'originalité, surtout avec l'émergence des found footage, des remake à trois francs six sous et des suites à caractère multiple. V/H/S et ABC's of Death avaient su un peu dynamiser l'image de marque en proposant de nouveaux concepts. Unfriended en fait de même, en mode huis-clos, puisqu'il s'abstient des habituels mouvements de caméra. Et pour cause, la quasi majorité des images qui nous sont proposées proviennent d'écrans d'ordinateur. Le mélange passe très bien, d'autant plus qu'il ne dure pas très longtemps et que le mystère grossit au fur et à mesure que les minutes défilent. Certes, dans ce type de métrage, la prévisibilité est souvent de mise, mais les effets crescendo d'Unfriended ravivent néanmoins la flamme d'un genre en déperdition, et nous donne le temps de quelques minutes la peur d'éteindre son laptop...