Impression globale | 7.0 |
Histoire/scénario | 7.0 |
Acteurs | 6.5 |
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Synopsis : Après le succès du premier film, L'île des miam-nimaux : Tempête de boulettes géantes 2 nous entraîne dans les nouvelles aventures de Flint Lockwood. Inventeur d’une machine capable de transformer l’eau en nourriture, Flint avait été obligé de la détruire parce que son invention avait déchaîné des pluies torrentielles de cheeseburgers et des tempêtes de spaghettis, menaçant toute la planète… Pourtant, la machine n’a pas disparu, et elle crée maintenant des croisements entre animaux et aliments, les « miam-nimaux » ! Flint et ses amis s’embarquent dans une périlleuse mission pour affronter des tacodiles affamés, des Cheddaraignées, des Serpent à galettes, des Hippopatates…
Réalisateurs : Cody Cameron, Kris Pearn · Casting : Bill Hader, Anna Faris, Neil Patrick Harris, Terry Crews
Une suite très appréciable que ce numéro 2! On prend du plaisir à retrouver tous les personnages qu'on a quitté après les événements survenus sur l'île. Aucun thème n'est abordé dans la bande annonce et aucune ligne du scénario mis à part le retour sur l'île, c'est peut être pour cela que certains sont septiques, mais il y en a bien un avec une intrigue, alors si vous voulez ne pas passer à côté de ce chouette moment au ciné, laissez-vous tenter! C'est un fan de films d'animation qui vous parle! ;). Je regrette juste qu'ils aient changé la voix de manny qui n'a rien plus à voir avec celle du premier (changement avec celle de Cyril Lignac, du coup on reconnait bien trop sa voix, et sa perd tout l'intérêt du doublage). Mais bon mis à part ça, très chouette moment!
Ahah je me sens à peine visé
;) Spéciale dédicace!
"Le premier étant bon, le second l'est tout autant". Produit par Sony Pictures, le dessin-animé reste dans la veine de son prédécesseur, alliant des personnages relativement charismatiques à une intrigue nouvelle et pleine de fraîcheur. Et, sur une île où chaque buisson cache un éventuel danger, prenant la forme d'un animal de nourriture prêt à vous dévorer, les bonnes idées sont légions et les scénaristes en profitent. Même si la fin est un condensé exaspérant de chance inouïe montrant l'unique possibilité de clore un métrage animé, le divertissement est assuré.