@Pulsions
C'est bien toi effectivement, alors qui m'avait fait regarder, vers OldWolverine ! Soit benit !
Ma critique, ou plutôt mon analyse se positionne en fait sur la stature d'imprégnation. Toute la question de l'Art repose sur notre rapport à l'oeuvre, ou, en distinction, ou en "faisant corps et âme" avec. C'est à dire que dans le réel, l'immortalité est un concept, qui puise ses source dans ce qui a été dégagé dans ce qu'on appelle le syndrome de Peter Pan (de dan Kiley) - en gros qu'est-ce que c'est : c'est la capacité a digérer le réel, pour faire de la vie et de la mort, des éléments tel qu'on atténue notre propre rapport à l'angoisse de mourrir, et à la surprise que cela peut créer en nous au moment de vérité Ultime (a savoir, y a t'il une vie après la mort - y a t'il un espoir ...). Si on ampute à l'oeuvre d'Art, sa capacité a nous accompagner dans le réel, on sectionne notre liberté d'imprégnation d'âme avec ce qui peut au mieux nous rassurer. C'est ce qu'on appelle faire sens (la vie est dans les sens). SI l'on fragmente notre rapport à l'oeuvre, en inventant des formes qui compromettent le sens de la vie, le risque est de détacher à tout jamais notre interrogation de ce support qu'on appelle la mythologie, là en l'occurence, le Super Héros. EN fait les films sont des média qui attirent notre interrogation, mais pour moi comme beaucoup je crois, autant qu'ils soient crédible. Ce que je veut dire, c'est qu'on ne part pas de la forme pour structurer un fond, c'est dangereux au nom de l'humanité, mais c'est qu'on déduis une structure, qui finie par prendre forme (la forme n'est jamais prévue).
On à le droit d'imaginer des formes d'immortalité au cinéma; ou dans la Bédé, mais ce sont des raisonnements faux ! Si mon âma crée, elle s'assimile a son oeuvre.
C'est chiant, mais ca n'engage que mon propre rapport à l'oeuvre ...
Qu'en penses-tu ? Qu'en penseriez-vous ?
:"Nus sommes tous des yeux de Lynx, nous sommes des perceptions ..."