L'univers de films DC ne sera pas aussi cohésif que celui de Marvel :Interviewé par Vulture, le PDG de Dc Comics, Geoff Johns, a parlé de l’avenir de l’univers DC après « Justice League », qui sortira cet automne.Il a fait savoir que le studio ne compte pas renoncer à la continuité, mais en même temps, il projette de ne pas mettre l’accent sur l’idée que ... Suite →

C'est plutôt cohérent

C'est logique, comme on le dit depuis des mois la warner ne tente pas de s'imposer une ligne de conduite pour que tel film soit dans la continuité de celui si, chaque film aura l'identité que le réal voudra lui donner avec bien sur certaines limites qui dépendront de sa notoriété et son talent. Cela ne fait que confirmer le fait que les prochains films ne vont pas suivre une pseudo directive à suivre absolument comme le fameux "film plus lumineux", on ne s'était pas tromper la dessus.

Maintenant cela peut toujours mener à un film de commande, après il y a encore débat la dessus, on ne sait toujours pas ce qui s'est passé sur le développement du film wonderwoman. Si c'est juste un manque de talent du réal, un manque de budjet, une attitude m'en foutiste de la prod ou quoi qui a conduit à certains de ses gros défauts alors qu'a côté il y a de très bon points et on sent la tentative de donner une identité au film. Par contre suicid squad je pense que cela ne fait aucun doute que le film a été rushé.

Pas de problème, ça reste un univers commun mais ils sont pas obligé de nous le faire savoir à chaque film quoi. Plutôt pour.

Salut,

@Pap' :"Pour trancher dans la matière, encore faut-il conceptualiser et élaborer ..."
La Bd c'est de la Pop culture. C'est complètement décalé avec le réel, ca ne l'illustre donc pas. En faire des films, j'en parle même pas, étant donné qu'en plus les codes couleurs primaires, sont intraduisibles en images. Il y a des tentatives d'approches esthétiques auxquelles on adhère ou pas : c'est ce que j'appelle "la matière". J'entends par là, la matière "Brut". La cohérence de ce matériaux est régie nécessairement par une ligne directrice qui se développe. Une écriture en somme. J'invoque nos très denses discussions sur Deadpool, ou sur les débuts du personnage, chacun en a fait à sa tête. On le retrouve dans le film dérivé de Wolverine. Après il est mis de coté, puis ils se le réapproprient. En tant que spectateur, j'étais paumé. Si je le regarde avec mon fils il faut non pas partir de l'histoire pour lui faire comprendre l'incohérence (car il ne reconnaitra pas le perso'), il faut partir de l'histoire de la création du film même. Ce dont je me fous à priori quand je vais au cinoche. C'est ce que j'appelle la conceptualisation, mais plus encore.

Je pars de l'idée que la Pop culture est déjà un courant arrêté "en soit" un courant artistique. Plus largement, si ils veulent manipuler le genre, l'idée de Pop culture (en tant que matière -idée), il faut pour le transformer l'élaborer et y mettre quelques autres pratiques. Y insérer une autre matière par exemple. Comme si on partait de l'idée d'humanité pour y insérer de la technologie, et ainsi laisser place au concept du cyborg ... ou bien Lolo Ferrari.

L'idée c'est de ne pas trop se disperser au risque de faire faillite, quoi ...

c'est une façon interessente de voir les choses, j'aime bien l'idée.