Ils ont gardé le principe de la voix grosse voix déformée mais artificiellement cette fois, c'est moins fatiguant. On change d'univers mais finalement les éléments importants, les bonnes trouvailles sont gardés d'un film à l'autre quel que soit l'interprète, le réalisateur et l'univers traité, une cohérence qui fait souvent plaisir, c'est tout con mais c'est bien de ne pas tout reprendre à zéro. Dans B V S, l'âge de Batman a même été pris en compte par rapport à celui de The Dark Knight Rises, ce qui tombe bien en plus ici puisqu'il était nécessaire d'avoir un Batman plus expérimenté pour affronter le Superman débutant. Il est à noté, mais on l'a tous remarqué, que l'âge de Batman ou une certaine évolution dans le temps est enfin prise en compte en film ( contrairement à son traitement dans les comics) depuis la trilogie Nolan, entre Dark Knight et Dark Knihgt Rises pour être précis, ce qui n'était pas le cas il me semble chez Burton et l'autre tâcheron de Schumacher. Le Batman/Ben Affleck, va encore un peu plus loin dans l'impulsivité et l'agressivité du personnage. La Batmobile s'inspire encore de la version Nolan mais tend à rejoindre celle de Burton, y'a encore de la marge à ce niveau-là c'est vrai, mais elle devient plus sophistiquée. Toujours cette continuité quelque part.