@Pulsions Il y a chez le Joker, la quête du ressenti. Il ne sent rien. Comme tous les malades, il veut détruire pour l'illusion de la sensation. La puissance n'est même pas une problématique, car selon l'imposture du tyran, est puissant celui qui fait mal et ne ressens rien de ses propres méfaits. Je maintiens que Ra's as Gul, L'épouvantail, le Joker, double-face, l'homme mystère, le pingouin etc. ne sont que des mêmes de Batman, et que le miroir des ces ennemis nombreux, ne sont que l'événement d'un narcisse blessé. Avec le temps ils ont créé d'autre ennemis, pour se libérer de cette contrainte du style d'adversité. L'asile d'Arkham est un témoignane tangible de ce que j'avance.
Le Joker chez Nolan, "n'a pas de plan" : ce serait logique car il s'exclue du sensible. Il s'exclue de la prévisibilité de la vie. Gotham est une ville ou la mort règne, ou le vice s'emporte avec lui même. Même Batman essaye d'anticiper la mort. Mais Joker dit qu'il n'a pas de plan parce qu'il est un joker dans le jeu de la survie de Gotham. Est-ce aqu'il dit ca aussi pour avoir un semblant de dessus sur un Batman qui ne jure que par la maitrise.
Il n'est pas non plus ininterressant de voir le Batman Lego fait recemment. L'opposition des deux personnages est bien respectée.