Salut Cidjay, mais je ne suis pas évidemment d'accord, même si je respecte ton avis, laisse moi juste développer légèrement une chose.
L'idée essentielle, développée par Ridley Scott, est la suivante et comme les gens ne savent pas lire et ne comprennent rien, je vais essayer de l'illustrer.
L'androïde est un même. Il ne sent pas ni ne ressent. Un être fasciné par les humains, au point de les étudier dans l'amour comme dans la souffrance, cherche, ou bien, à se développer, ou à copier. Il y a deux androïdes qui se distinguent de différente génération. Sur les deux, le premier qui cherche à copier les humains dans ce qui lui est étranger : la création.
Créer n'échappe pas à ses racines. L'androïde n'en a pas. il les "élabore", les invente. Il le croient tout cas. Mais en fait, il a plus un comportement qui se rapproche, d'un psychopathe, plutôt que d'un humain, quoique ... Un humain psychopathe existe, donc un androïde gorgé de références, ou plutôts de programmes libérés, autonomisés, déviants ... qui sait. Ca donne Alien. Pourquoi pas ! Je ne crois pas que la narration est merdique. Au contraire, elle se joue des attentes, et au-delà même, et même si elle se joue peut-être des schémas, elle se distinguent pour mieux y retourner. De plus cet androïde cherche à se développer aussi dans une étape autre, et a travers son expérience de l'alien, cet alien est le recul des expérimentation qui validerait sa propre science/étape.
La seule chose pour laquelle, je ne suis pas d'accord dans le film, mais qui dans le réel est certainement "chose", c'est la bactérie agressive. placée naturellement dans la nature, ou bien, résultat d'une attaque biologique, qui se retournera objectalement maitrisée contre ses "créateurs... soit, mais voilà pourquoi j'aime la saga - c'est parce que ca tient debout - au contraire. Ridley Scott ne refait pas le match dans un bistrot pour réécrire ses Aliens, il a je crois un cinéma bien plus fin. Bon évidemment je suis très agé, donc je suis à la fois plus handicapé que la jeune génération pour faire valoir mon dégoût du sensationnalisme. Ridley écrit. il ne pense pas comme Nabilla. Auquel cas j'aurai "été" d'accord avec ta lecture. Mon bichon !
Signé Kormyr, aussi appelé Ôlivier BARNUM et qui aime Cidjay