Marcus, détective privé du 21ème siècle.
Nous sommes en 2087 en France. Marcus est un détective privée.
« RIA sors moi le dossier 4027-ER du coffre numéro 34. »
Il se détourna vers le cactus posé dans le coin de son bureau.
« Ah ce nouveau modèle de robot m’énerve, il est vraiment pas au point, il va falloir que je pense à appeler le SAV de Renault. A la pub il disait : R.I.A, Robot Intelligence mais Artificielle. Il faisait référence au fanatique qui viol des robots, du cybersexes mais qui malheureusement pour eux qui est interdit depuis la loi Fillon Jr. Bon il faut vraiment que j’arrête de parler à ma plante moi. A la force de parler aux robots je crois que tout est vivant et que je peux parler à tous et n’importe quoi. »
On frappa à la porte
« _ Oui, entre.
_ Monsieur, voilà le dossier 4027-ER et votre café. »
Un robot d’apparence féminine, et portant une robe bleue, était rentré dans la petite pièce où trônait au milieu un bureau où était assis derrière Marcus. Marcus était un homme d’une trentaine d’années. Il portait comme souvent un costard cravate, blanc et noir. Dans un coin de la pièce, il y avait un fauteuil en cuir rouge qui ressemblait fort à celui de Morphéus dans Matrix.
« Je te remercie R.I.A, tu peux retourner te connecter. Alors, il faut que je relise cette histoire qui date de 2011. Un problème de vieux sous à propos d’un livre sortit récemment. Je dois vérifier s’il les faits présentés dans celui-ci son vrai. Alors voici le rapport de police
Rapport de police :
Rapport du policier municipal Julien Voisineau (Premier personne sur les lieux) : ‘ La standardiste a reçu un appel à dix huit heures et vingt-cinq minutes d’une femme qui se plaignait du bruit répétitif de ces voisins. J’ai donc été envoyé là-bas, 9 rue de Victor Hugo à Bobigny dans un HLM aux sixièmes étages portes 66, pour régler ce problème. La nuit était sombre et il flottait de la petite plus fine. En arrivant là-bas la femme qui avait appelé m’attendait toute paniqué. Elle me dit de me dépêcher car il se passait des choses étranges chez ces fameux voisins. Je lui ai demandé de m’indiquer par où on pouvait accéder à leur appartement. Elle me montra du doigt par où je devais aller. Arriver dans le hall, j’ai vu que l’ascenseur était en panne et qu’une partie des indications bordait le sol. Je pris les escaliers. Je montais les marches par trois. Troisième étage, la sueur commence à couler sur mon front. Cinquième, étage, je m’essouffle, l’immeuble avait l’aire vide. J’arrive au sixième étage. Je vois au fond du couloir à droite une porte ouverte. Je me dirige vers celle-ci. Je sortis mon arme de son étui au cas où, on ne sait jamais. Je poussai la porte. Tout de suite je sentis un vent de fraîcheur frappé mon visage et des bruits étranges (qui se révèleront être celui du chien, du robinet et de la fenêtre). Je m’avançai dans le couloir où se trouvait au sol une bouteille de whisky apparemment, qui était complètements explosé. Au fond du couloir se trouvait une pièce. Il y avait deux portes à gauche et une à droite. J’ai avancé vers celle la plus proche de moi, l’appartement semblait vide, c’était la cuisine. Les joins étaient moisis sinon tous paraissait bien rangé. La porte du placard en hauteur était bancale. Le robinet n’était pas assez bien fermé car des gouttelettes tombaient de celui-ci. J’ai donc décidé de le fermé, c’est pour cela que mes empreintes ont été retrouvé dans la cuisine. Un vieux frigo rouillé était à gauche du lavabo. Puis soudain, j’ai entendu le bruit d’un chien entrain d’ouigner. J’ai alors suivit le bruit qui me mena à la pièce principale. Stupéfaction deux corps étaient jonchés sur le sol. La pièce était complètement délabré avec de la tapisserie qui se décollaient, des cafards qui grouillaient à certain endroit de la pièce. L’écran de la télévision grisaillait à côté de la fenêtre ouverte cela créait beaucoup de courant d’air au sein de la pièce, j’ai également fermé cette fenêtre pour ne pas que certaine preuve disparaisse ou soit fausser. Le premier corps était celui de MM. Boileau. Elle était allongée de tous son long sur le sol dans une flaque de sang à côté du canapé vert foncé qui se trouvait en face de la fenêtre. M. Boileau était assis dans une chaise à la gauche de la fenêtre. La tête en arrière avec une seringue planté dans l’intérieure du bras droit et un élastique un peu plus haut. Sur la table à côté de lui se trouvait de la drogue. J’ai donc supposé qu’il venait de se faire une piqûre dite tranquillisante par les dealers du quartier. J’avais pris le pouls de M. Boileau en entrant dans la pièce. Il était mort mais depuis peu, son corps était encore chaud. Mais il m’était impossible de m’approché de MM. Boileau car le chien m’en empêchait dès que je voulais relever le pouls de celle-ci. À ce moment là je pris mon téléphone portable pour appeler la brigade. Il était à mon portable dix neuf heures et dix sept minutes. Dix sept minutes ont suffit à mes collègues de la crime pour arriver. Ensuite le Commissaire Daleaux pris mon témoignage et les rennes de l’enquête par la même occasion. ‘
Témoignage de la voisine MM. Joévin (Personne auteur du coup de fil) prise par le Commissaire Daleaux :
‘_ Pourriez vous me racontez pourquoi vous avez appelé le commissariat ?
_ Alors enfaite sa fait seize ans que je vie dans cette immeuble. La famille Boileau vie depuis six mois dans cette immeuble et ils non pas cessés de faire du bruit depuis qu’ils ont arrivés. Vas y que je mette la télé trop fort. Vas y que je frappe ma femme et mon gosse. Tous cela je l’ai dit au syndic plusieurs fois mais ils n’ont rien fait.
_ Pourrions nous revenir au fait, s’il vous plaît ?
_ Oui bon fin bref mais la mère et le fils Boileau étaient totalement dominé et abusé par le père. Déjà il revenait tous les soirs de l’usine bourré comme une canne. Je suppose qu’il frappait sa femme. De toute façon le soir même où je l’ai vu pour la première fois son masque est tombé je l’ai deviné vous savez je suis forte pour ces choses là. On ne là fait pas à moi. Mais pourquoi vous me posez toutes ces questions j’appelai juste pour un tapage nocturne ?
_ En faite madame, je suis contraint de vous apprendre M. et MM. Boileau sont décédés !
_ Oh mon Dieu, ce n’est pas vrai et le petit qu’et ce qu’il est devenu ?
_ Nous ne savons pas où il est nous continuons les recherches.
_ Je suis toute … ‘
On frappa à la porte du bureau de Marcus.
« _ Quoi encore RIA ?
_ Je vous rappelle que vous avez un rendez vous chez le médopsychiatre dans … euh … non depuis dix minutes.
_ A mince et tu ne pouvais pas le dire plus tôt mais je dois rendre le dossier à Mademoiselle Joévin ; Cette fameuse femme devenu riche grâce à l’histoire de ça grand-mère. »
Marcus se leva et pris sa veste que lui tentait RIA. Il sortit et ferma la porte où était marqué :
« Marcus Figure Détective privée »
A suivre …