"Je conteste !"
Je peux comprendre qu'il soit frustrant de se retrouver soumis au jugement d'une seule personne. C'est pourquoi j'avais proposé que l'ensemble des membres puisse voter... Proposition que tu avais refusée.
Un peu tard pour contester, maintenant...
"J’ai travaillé énormément sur la nouvelle, j’y aie mit tous les indices possible dans des phrases mais il faut avoir bien lu la nouvelle pour la comprendre."
J'ai "bien lu la nouvelle". Je l'ai même lue deux fois, puisque tu as jugé utile de soumettre une version bêta et une version retravaillée.
"J’ai fais lire l’histoire par plusieurs amis et ils l’ont aimé, et il y a deux amis qui sont très cultivés, qui lisent souvent, savent quoi regarder à la télé, etc … ben ils l’ont dit, l’histoire est réussie, et elle est tellement bien ficelée qu’il faut vraiment faire attention à certaines phrases pour comprendre l’histoire."
Règle numéro un en écriture : ne jamais faire lire sa prose à un proche. Aucune réelle critique constructive n'en sortira jamais, pour des raisons assez évidentes.
Après, si le message que tu essaies de faire passer est : "mes amis de seize ans sont plus cultivés que toi", ben... O_o
"Alors, la photo elle vient de quelque part. C’est comme dans des films, parfois on voit que le gars ou la femme voit un objet tout à coup mais on ne sait pas d’où ça vient. J’ai voulu mettre ces petites choses dans mon histoire pour l’enrichir, la rendre originale."
"Elle vient de quelque part", ça ne veut strictement rien dire. Désolé, mais tu ne peux pas faire apparaître un élément crucial de ton intrigue sans expliquer sa provenance. D'après ce que je lis dans ton texte, le "héros" se trouve sur une route, au milieu de nulle part... et tu attends du lecteur qu'il gobe l'apparition d'une photographie sans se demander d'où elle peut bien sortir, pour la simple raison qu'elle sert ton intrigue.
Ca ne va pas, ça... ça traduit juste de la paresse dans l'écriture, et c'est mauvais, parce qu'il s'agit du genre de détail qui met à rude épreuve la crédulité du lecteur et qui le déconnecte donc complètement du récit.
Tu dis que ce procédé est souvent utilisé dans les films... cite-m'en un exemple ?
"Pourtant la fin est vraiment bien, on se demande si Jerry s’est tout imaginé, et on se pose donc des questions ce qui rend déjà l’histoire plus chouette."
Pour que le lecteur en vienne à se poser des questions, il faut qu'il se sente impliqué par l'histoire... pour que je me sente impliqué dans une histoire, il faut que le style de l'auteur soit de qualité et, désolé, mais le tien m'a fait décrocher plus d'une fois (tu vas même jusqu'à passer de la première à la troisième personne, à un moment, faut pas déconner.. :p).
Après, ça ne reste que mon avis... un avis qui n'engage que moi. Mais, encore une fois, si tu penses qu'il ne vaut rien... hé bien, accepte donc d'élargir la liste des votants.
"Le policier a menti pour ainsi pouvoir aller chez lui car il en avait mar de bosser, mais il n’a pas menti sur le faite que Jerry disait n’importe quoi;"
La partie où tu annonces que le flic a menti est mal amenée... il faut faire preuve de plus de subtilité dans l'écriture, et amener le lecteur a tirer ses propres conclusions... pas les lui imposer aussi abruptement.
La subtilité, en écriture, c'est très difficile à obtenir (j'y travaille encore, avec beaucoup de mal), mais c'est pourtant l'une des clés d'un texte réussi.
"Alors voir que la mère s’inquiète pour la première fois sur son fils, alors c’est fabuleux, car on y remarque que sa mère, à Jerry, s’en occupe pas.
Alors Jerry lui est le rejeté, personne l’aime, tout est difficile pour lui. ce qui enrichit l’histoire, avec des émotions.
Jerry qui va au conservatoire pour s’exprimer et jouer de grand morceau connu."
Manque de subtilité, toujours. Les émotions, chez le lecteur, on ne les fait pas naître à coups de "je n'ai pas d'amis, mon père est mort, et ma mère s'en fout". Ca doit être amené de manière bien plus subtile... et, encore une fois, ça demande beaucoup de maturité et énormément de travail.
"Enfin voilà, je ne comprends pas pourquoi ça ne t’a pas plus car pourtant tout était compréhensible, le style était sympa. Presque pas de faute d’ortho, et la fin est bien ficelée.Alors voilà, je comprends plus rien."
Tu veux vraiment que je fasse un récapitulatif des fautes d'orthographes, des mauvaises tournures de phrases, des temps mal employés, des lourdeurs de phrases, des répétitions de mots, des mauvais transitions et des changements de point de vue non-justifiés ? ;-)
Vraiment, le style est loin d'être parfait, et il y a possibilité d'amélioration. Maintenant, évidemment, si tu continues à être ton fan numéro 1 et à trouver tes textes parfaits, tu ne risques pas de progresser beaucoup. ;p
"PS: Et dire que j’ai passé plus de 5h dessus. Car j’adore écrire mais voilà, j’étais sûr que ça vous aurais plût mais on dirait que non. Pourtant, ceux de ma classe, et même mes parents l’ont apprécié car je sais que j’ai du mal dans l’expression, j’ai du mal en français mais je me bat, et c’est bien la première fois que j’ai réussie à faire une histoire à la fois triste et qui tente à savoir si oi ou non l’enfant s’imaginait vraiment des choses?"
Ne prends pas mal ma critique.
De 1. Elle n'engage que moi, et je reste bien conscient que ma propre écriture est largement perfectible.
De 2. Il y a davantage à apprendre dans une critique négative, que dans l'avis de proches qui diront "amen" à presque tout ce que tu leur soumettras à lire.
;-)