Non mais j'ai l'impression que vous prenez tous cela à la rigolade et tout.. mais je suis sérieux quand je dis ça.
Quand j'écris quelque chose de vraiment personnel, quelque chose qui vient de moi, que j'écris spontanément, que j'écris les mots les uns à la suite des autres, j'arrive à dégager certaines choses.
@Mariyon , me poser pleins de questions, me découvrir, et découvrir des choses c'est dans ma nature.
@Zasadun , commentaire très rassurant de ta part. Voilà quelque chose que j'avais écris spontanément :
Quand un homme s'attache aux poignées de cet art qu'est le cinéma, qu'il s'envole et navigue dans les comtés les plus lointaines du 7ieme art, on est jamais sûr de savoir s'il reviendra en la personne d'un Homme ordinaire, celui qui achète son pain à la boulangerie, vie ses rêves pendant la nuit, et reste dans ce monde d'une société plus très démocratique, où tout le monde fait comme tout le monde. Pourtant, il n'y a rien de mieux que de voler de ses propres ailes, prendre place et vivre une immersion intense lorsque l'on regarde une fiction ou un documentaire au cinéma.
Âme enfuie et plus très isolée, le cinéma, c'est aussi l'occasion de vivre les moments les plus merveilleux qu'ils soient, et les revivre éternellement par notre seul et unique pensée.
Le cinéma, c'est aussi un art qui peut nous toucher, nous bercer et nous emmener là où même la magie ne pourrait nous permettre d'atteindre l'apogée de notre émerveillement.
@Sandeko, oui là j'ai du réfléchir ahah. Non mais peut être que je me suis fait mal comprendre. Mais quand je dis que je réfléchis quand j'écris, c'est à partir du moment où je réfléchi à comment je vais placer mes mots, comment je vais écrire une phrase. C'est de ça qu'il est question.
@scott , non mais non.
Voilà un autre texte très personnel que j'avais écris :
Déjà 12 ans d'existence, déjà 12 ans de malheur, de terreur, de froideur que ce jeune garçon avait vécu. Le divorce de ses parents à l'âge de ses 4 ans n'avait pas été le facteur le plus adéquat pour une croissance normale, et paisible. Sa vie commençait à virer au cauchemars, mais à cet âge là, il n'avait pas encore conscience des conséquences futur qu'il devra endurer. Ce n'était le début que du commencement, celui d'une aventure non à la Indiana Jones, mais plutôt à la Titanic, où viendra cet iceberg qui percera le coeur de sa seul raison de vivre.
Déjà un certains âge, déjà en première secondaire, déjà encombré d'ennuies, de malheurs, de douleurs au coeur, mais aussi physique. Les jours passèrent, les semaines à venir ne lui donnaient plus cet engouement à aller en cours. Il en vomissait, il ne voulait plus qu'on le frappe, qu'il soit victime d'insultes, de moqueries, et recouvert de honte pour le restant de ses jours dans cette école qui n'était qu'un début dans sa vie d'étudiant. Car oui, cette première année n'était que le début d'un long cycle, non annonciateur de bonheur, plutôt destructeur de joie et de bonne humeur. Par chance, mais plus pour très longtemps, il avait encore quelques amis du primaire, là, de temps en temps, près de lui pour le soulager de cette douleur, le guérir si nécessaire, et lui donner ce courage, et cette envie de réussir, et de ne pas se laisser abattre par les âmes innocentes des autres vautours, qui lui piquaient le coeur à grande vitesse, jusqu'à percer cette coquille qui lui protège de tous les mauvais microbes que recouvrent cette planète.
Les miracles existent, oui, ils existent, et il le pensait dur comme fer. Prier, chanter, danser, s'évader... C'était ses seuls moyens d'avoir, ou en tout cas de croire en l'existence d'un bonheur, qu'il soit proche ou lointains, en tout cas, il supposait. Mais c'était déjà magique pour lui, car il savait où se réfugier dans les moments les plus durs.
Cependant, il n'avait pas encore tellement conscience des conséquences que ça pouvait lui causer de se réfugier pendant de longues périodes. Il n'avait que 12 ans, et il était déjà victime par ce qu'on appelle le mal, la destruction de toute sérénité. Il commençait à se renfermer sur soi même, il allait devenir ce qu'on désigne aujourd'hui, un insociable, un reclus de la société, limite, un martyre!
Les années passèrent, sa conscience lui permettait de voir un peu plus claire, jusqu'au jour où il avait enfin cette force, et ce courage pour tenir tête, garder les épaules hautes, le dos droit, et montrer qu'il peut être un résistant du mal qui le rongeait de pis en pis. Il avait déjà 16 ans, il lui aura fallu 4 longues années pour voir les choses autrement, et surtout pour être plus fort, ou en tout cas paraître plus fort à la vue des autres, pour peut être enfin gagner ce que toute personne désirerait sur terre, un peu de joie, un sourire, de la gaieté, être posé et sans ennuies, être enfin victime non plus de la brute, mais de l'ange qui te portera dans ses bras, et t'aidera à réguler les battements de ton coeur, à te relever sur tes deux pieds, et à retrouver ce visage de petit bébé, heureux, rigolant à tord et à travers, ne sachant pas pourquoi, mais le faisant, non pas par courtoisie, mais pour montrer tout le bonheur qu'il est capable de dégager, grâce à sa mère qui lui a donner cette chance de vivre, et connaître un univers, certes pas les plus beaux, mais qui regorge tout de même de bonnes personnes, de gens capables de vous aider, de vous soutenir, de partir à l'aventure avec vous et vous permettre d'avoir ne serais-ce qu'une bonne raison de vivre.
16 ans, c'était aussi l'âge où il avait pu découvrir une passion qu'est le cinéma. C'était l'occasion de rêver un peu, et de commencer à croire que rien n'est encore terminé, et qu'il lui est possible d'avoir une seconde raison de vivre. Mais malheureusement pour lui, il était toujours aussi renfermé. Moins qu'avant, mais pas encore pour se détacher de ce terme qui le traumatisait, car il se sentait tout d'un coup pris sous la peur d'être différent des autres. Cette peur de ne pas savoir s'intégrer dans un groupe, cette peur de parler devant autrui, de s'exprimer correctement, car oui ce garçon regorgeait de problèmes les plus dérangeants. Mise à part cette grande timidité, ses problèmes d'articulations, de sommeils... et même familiales qui l'empêchaient d'avoir cette envie de guérir tout ça, et réussir à dire quelque chose d'intéressant, et à s'intégrer dans un groupe. C'était effectivement la seconde phase d'un début qui l'enrageait. Car si il n'arrivait plus à se battre, et à réparer ses faiblesses, c'était par son manque de sommeil. Par toutes ces choses qui lui revenaient en tête, qui encombraient ses pensées, qui l'empêchaient d'être heureux, et de continuer à vivre. Il avait vécu, autre fois, il y a très longtemps dans son enfance, des choses que je ne pourrais pas décrire tellement elles étaient atroces, inhumaines, tout droit venues de l'entre du diable. Cet enfant avait été marqué au fer rouge par ces images dans sa tête, qui l'avait traumatisé. Et ces images étaient seulement occupées de revenir, de remonter à la surface, et de lui jouer les plus mauvais tours qu'un mauvais magicien réussirait à faire. Il allait commencer à revivre son horrible passé, revoir ces images d'un père qui bat son fils, qui lui arrache les cheveux, qui l'étrangle, qui lui lance un verre sur le corps, qui le menace avec un couteau, qui lui fait la promesse de le tuer si il ne fait pas ce qu'il demande. Mais ce n'est pas tout, car de l'autre coté, il voyait sa mère ivre, dépressive, qui vivait très brutalement le divorce. Elle buvait, roulait ivre morte, lui parlait étant ivre, et lui racontait des choses qu'elle avait vécues quand il n'était pas encore née, des choses que son père avait fait à sa mère, des choses tellement atroces, qu'il se demandait si ce n'était pas des mensonges, mais quand sa mère lui redis ces choses 10 ans plus tard, étant enfin sorti de la boisson, et consciente de ce qu'elle disait... et qu'il vivait d'horribles scènes avec son père, il ne pouvait pas y échapper, et croyait tout ce que sa mère lui disait, sans cesse, comme un morceau de musique qu'on met en boucle. Il connaissait par coeur tout ce que sa mère lui disait. Il commençait juste a en avoir marre, et voulait arrêter qu'on lui dise d'horribles choses, pour pouvoir avoir la conscience un peu plus tranquille, et peut être avoir une vraie nuit de sommeille. Mais il est certains que ses autres problèmes qu'il avait vécu au début du secondaire le poursuivait toujours, car déjà en 5ième secondaire, il était malheureusement toujours victimes de quelques moqueries, et blessures physiques à l'école. Par chance, il n'était plus seul, il avait fait la rencontre de personnes partageant sa même et presque unique passion. Il avait aussi rencontrer une personne, déjà vers ses 14 ans, qui lui viendra plus tard en aide, et lui permettra de se décoincer un peu, et d'avoir un contact un peu plus humain, se détachant petit à petit de sa chambre, de son monde virtuel, de son pc, mais pas pour longtemps.
Trois ans plus tard, déjà 19 ans, mais il n'en avait pas fini avec tout ses problèmes. Il ira de pis en pis, il aura son coeur brisé, il sera victimes de lâches, de gens qui l'abandonneront. Il ne comprenait pas pourquoi les gens avaient si fort changé en vers lui, il ne comprend toujours pas pourquoi beaucoup de ses amis de la vraie vies ne lui parlaient plus comme avant. Il savait que ses déprimes repoussaient certains de ses amis. Il savait qu'il allait très mal, et qu'il devait avoir de l'aide d'un spécialiste. Car oui, il faudra patienter quelques mois pour qu'il accepte de voir un psy, et qu'il accepte enfin la personne qu'il est, un garçon amoureux d'un autre. Il aura vécu les phases les plus intenses de sa vie, à ses 19 ans, il aura été jusqu'au point de se mutiler le bras, il ira jusqu'à avoir ces mauvaises pensées quotidiennes. Il changera, il sera différent, méconnaissable, il va perdre pas mal d'amis, il va être souvent incompris. Mais pourtant, il a tout d'une bonne personne, il a juste eu une enfance que je pourrais qualifié de pas humain. Il a connu du monde qui lui aura fait énormément de mal, et le monde virtuel ne l'aura pas totalement aidé, puisque même réfugié dans sa chambre, le net s'emparera de son âme, et lui enfoncera ces poignards dans le coeur, le lui brisera, l'inondera de larmes. Il est juste devenu quelqu'un de faible, de presque inexistant à la vue de presque tous, il est devenu une personne qui n'a justement plus de raisons de vivre, mais pas tout à fait. Car la chance lui aura sûrement souris, miracles ou pas, il aura connu une poignée de personnes virtuel, il aura connu une charmante fille qu'il ne sera pas prêt d'oublier, le genre de fille que t'aime énormément par le courage qu'elles ont d'aider une personne aussi dépressive, il aura aussi rencontrer ce garçon, avec un grand L, qui l'aura permis d'avoir, de temps en temps ce sourire aux lèvres, un garçon si merveilleux, si beau et sympathique, il aura connu ces quelques personnes, qui lui auront apporté enfin une bonne raison de vivre même si chaque jour, il va toujours aussi mal, et ne voit pas les choses s'améliorer. Mais il garde espoir, il résiste, et continue à se battre, et à prouver aux autres qu'il peut sortir de cette spirale qui va bientôt réussir à ronger le noyau de son coeur. Il crois encore au bonheur grâce à ces quelques personnes qui lui en apporte. Il croit encore que rien n'est terminé, et qu'un jour, il aura vaincu cette chose qui emprisonne son coeur.
C'était l'histoire vraie d'un jeune garçon, qui 19 ans plus tard, continue toujours à se battre coute que coute à la recherche de la joie infinie.
OU ENCORE UN AUTRE TEXTE PERSONNEL
L'amour de ma vie,
Naviguant sur les mers.
Je l'aime comme une mère,
qui chouchoute son baby.
Avoir son visage gravé dans mes pensées,
Comment s'en défaire,
Une vraie salle affaire,
Mais Impossible de s'en détaché.
Brillant comme le ciel,
Aussi délicieux que le miel.
Sincère comme jamais,
Je suis enfin prêt.
Bébou angel d'amour,
Pressé d'être à tes cotés,
Pour pouvoir te câliné,
Comme dans la vie de tous les jours.
Il ne me faudra pas écrire un nouveau quatrain pour éviter de tomber dans le patos. Non, j'ai ces mots sur la langue, DEUX semaines, rien que ça, ou déjà pour commencer. Rien d'exceptionnel pour certains, mais ça l'est assez pour moi. Être heureux, être amoureux, être aimé et connaître un grand amour, ce sont des choses que je n'avais plus connu depuis tellement longtemps, à une époque, où ma mère me berçait dans ses bras.
Bébou d'amour, pour ne pas te le dire dix milles fois, je t'aime.
Et je veux que ce mot "semaines" se transforme non en mois, ni années, mais en une durée infinie qui fera de nous des heureux, et un couple uni par la force de l'amour.
I love you, mi amor, je te l'aurais déjà dit, mais pas grave, je me dois répéter ces mots qui me sont important, pas uniquement à mes yeux, mais pour nous deux.