Bonsoir,
je ne savais pas trop où le dire. Mais je pense qu'il me semble utile que je vous explique, sans grand détails ,pourquoi je vais m'absenter pendant un temps indéterminé. Pas que ce sont mes examens qui arrivent en janvier.
J'ai la chance de pouvoir passer noel à l'hopital... j'espère que je ne vais pas passer le nouvel an aussi à l'hosto.
J'ai quelques "soucis" à la tête. J'ai pas envie de jouer les sentimentalistes, non je ne vais pas mourir, enfin on sait jamais, je pourrais mourir si l'opération foire... Je vais bien me faire opérer à la tête. ça m'en donne la chair de poule rien que de l'écrire.
Je rentre demain! Et je sors... quand je pourrais sortir!
Ps: Quelqu'un à déjà étudier dans un hopital ? j'espère que ça sera pas trop difficile pour moi!
Je vais quand même passer cette dernière soirée de l'année 2012 peut être avec vous! Sinon on se retrouvera normalement en 2013 j'espère bien!
J'ai un petit article que je vais poster qui pourrait vous intéresser je pense.
Voici l'article paru dans le métro, journal qu'on trouve en Belgique. J'espère que ça vous plaira cette lecture!
Titre de l'article : "Possédée, le Dibbouk et la réalité".
Je vais vous retranscrire cette fameuse interview du film "Possession", très intéressante, voir étonnante! Bonne lecture ==>
Journaliste : Vous avez donc cette fameuse boîte à dibbouk en votre possession ?
Jason Haxton : "C'est exact. Après être tombé malade et avoir vécu des choses très étranges personnellement et autour de moi aussi, j'ai décidé de protéger d'autres personnes de cette boîte. Je possède pas mal de terres et mon fils et moi avons enterré l'objet quelque part. Il en existe cependant une réplique, ce qui vous permet de savoir à quoi ressemble l'objet, mais la vraie boîte ne sera plus jamais transmire à personne."
Journaliste : D'où vient cette boîte, en fait ?
J.H. : "La mystique juive existe depuis des milliers d'années. Mais le rituel avec la boîte à dibbouk date probablement de ces 50 dernières années. La boîte est arrivée aux Etats-Unis avec un survivant de l'Holocauste. Durant la Seconde Guerre mondiale, une famille juive s'est sentie menacée et a recherché d'autres voies pour obtenir des informations sur 'l'autre côté'. Comme les membres de cette famille s'étaient adressés au monde spirituel, ils sentaient cependant que, en invoquant un esprit, ils avaient fait plus de mal que de bien. Après la guerre, un membre survivant de la famille a essayé d'invoquer à nouveau l'esprit et de le rendre inoffensif en l'enfermant dans la boîte à dibbouk -vous devez voir celle-ci comme une sorte d'autel. Après la guerre, la femme a enmené la boîte en Amérique en pensant qu'elle serait enterrée avec la boîte après sa mort. Ce qui mettrait une fin à l'histoire des démons. Mais dans la religion juive, il existe une règle: si un objet peut encore servir, il ne peut être enterré avec le défunt. Le rabbin a donc refusé d'enterrer la boîte. Comme dans le film, l'objet a ensuite été vendu (par la petite-fille de la femme) lors d'un vide grenier. une âme innocente l'a achetée et, plus tard, elle s'est retrouvée entre mes mains."
Journaliste : Vous n'êtes pas déçu que le film montre tout de façon exagérée ?
J.H. : "Les incidents dans le film sont très semblables à ceux que moi et d'autres personnes avons vécu. En réalité, il y avait quatre familles concernées. Le film ne parle délibérément que d'une seule famille. Le moment où l'on voit le dibbouk est, bien sûr, exagéré. Mais quand j'ai touché la boîte pour la première fois, c'était comme si quelque chose s'accrochait à moi et que quelqu'un me plantait un couteau dans le ventre. Lorsque je me suis calmé, une certaine substance s'est mise à suinter de moi. Je ne peux toujours pas m'expliquer cet incident. Mais ça s'est passé au moment du 'nettoyage' au basilic et au sel marin recommandé."
Journaliste : Le producteur Sam Raimi et le reste de l'équipe de tournage ont refusé de tenir la vraie boîte. Des cinéastes de l'horreur qui ont la trouille d'une boîte ?
J.H. : "Un peut (rires). Je leur ai demandé s'ils voulaient voir la vraie boîte, mais personne n'a eu le courage de dire oui. C'étaient des gens intelligents et bien éduqués, mais ils avaient tous une excuse."
Voilà! Le dernier paragraphe n'est pas très important.
J'espère que ça vous aura plu que je vous partage cette article du journal. Et non, c'est un article qui n'est pas dans la partie blague. C'est un article apparemment sérieux, à moins qu'un gars du journal Métro à écrit un truc imaginaire.