Voici un grand avancement de mon projet que je vous fais part :
Ce film débutera par un extrait de la fin d'un film de fiction réalisé au cours de l'année. Le générique de cet extrait lancé, qu'on arrivera sur un two shot en plan large de deux personnages assis sur un canapé dans un salon pour arriver sur un plan américain à l'aide d'un traveling. (Un traveling qui se justifie dans le but de montrer que l'on entre dans l'atmosphère de 2 protagonistes et qu'on y restera ancré avec des valeurs de cadre qui plus serrées)
Dans ces 2 personnages nous aurons un cinéphile (Euforie, la trentaine) qui part souvent dans une folie après visionnement de films/docu, et à l'opposé son ami (Samuel, la trentaine) qui lui regrette parfois de l'avoir connu car il ne peut juste le supporter, surtout que le cinéma ce n'est pas sa tasse de thé.
On tombera alors dans un champ/contre champ où Euforie a les yeux illuminés, et le sourire béat, tandis que l'autre est complètement saoulé. (@Adbadad , j'ai recopié si tu me le permets)
Samuel essayera de lancer la discussion, appelant son ami qui continue à être dans son état d'évasion infinie. Une caméra qui se rapproche, une valeur de cadre qui devient de plus en plus serré pour entrer dans la tête d'Euforie et ainsi découvrir ce à quoi il est occupé de s'imaginer.
C'est à ce moment que nous sauront dans sa tête et nous verront Euforie dans la peau d'un personnage du film qu'il avait vu précédemment sur sa télévision. On verra une reconstitution de l'extrait vu au début du film (et sûrement au de là de cet extrait) qui se passera dans un lieu, un moment, un contexte complètement différent.
Une voix lointaine, celle de Samuel, fait surface, et nous retourneront dans ce salon en champ/contre champ des 2 personnages. La colère de Samuel s'empare de lui, quand la claque soudaine réveillera Euforie de son monde dans lequel il s'était évadé.
Je compte joué sur la hauteur caméra, ainsi que sur la lumière. Avoir cette très légère plongée sur Euforie suite à la claque donné par Samuel. Avoir cette ombre sur son visage pour montré qu'il est complètement hors de lui. Pour très vite changé de hauteur, et avoir cette légère plongée sur Samuel, avec Euforie qui commence à tomber dans une folie implacable. Une lumière qui fait surface sur son visage. Et Samuel qui n'hésitera pas à se relever pour ne tenir la tête haute.
Un dialogue viendra s'opérer entre les 2 protagonistes où une véritable défense s'installera. L'un qui coûte que coûte défendra ses "délires d'évasion", on pourra voir à cet instant un nouvel extrait de fiction ou documentaire réalisé au cours de l'année. Euforie partira assez loin pour tomber dans une certaine folie, jusqu'à tomber dans l'absurdité. Tandis que Samuel usera de ses grands sabots pour le faire taire de ses âneries et lui faire comprendre que ce n'est pas ainsi qu'il pourra fonder une vraie vie sociale en s'enfuyant dans ses mondes fou du 7ieme art.
Une "bagarre" verbale qui n'en fini pas, et une caméra qui reculera. Un traveling en fin de film, avec ces deux personnages qui s'éloignent. Une valeur de cadre qui devient de plus en plus large. Montrer que ce dialogue n'en finira pas. Prendre du recul, de la distance et quitter cette bulle prête à éclater à tout moment.
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Je comptais notamment démarré et terminé par une voix off. Introduire et conclure un message.
Conclure par ceci :
Quand un homme s'attache aux poignées de cet art qu'est le cinéma, qu'il s'envole et navigue dans les comtés les plus lointaines du 7ieme art, on est jamais sûr de savoir s'il reviendra en la personne d'un Homme ordinaire, celui qui achète son pain à la boulangerie, vie ses rêves pendant la nuit, et reste dans ce monde d'une société plus très démocratique, où tout le monde fait comme tout le monde. Pourtant, il n'y a rien de mieux que de voler de ses propres ailes, prendre place et vivre une immersion intense lorsque l'on regarde une fiction ou un documentaire au cinéma.
Âme enfuie et plus très isolée, le cinéma, c'est aussi l'occasion de vivre les moments les plus merveilleux qu'ils soient, et les revivre éternellement par notre seul et unique pensée.
Le cinéma, c'est aussi un art qui peut nous toucher, nous bercer et nous emmener là où même la magie ne pourrait nous permettre d'atteindre l'apogée de notre émerveillement. ____________________
Concernant l'atmosphère, je voyais avoir une lumière assez chaude et rayonnante au départ pour tomber dans quelque chose de plus sombre, plus froid.
MERCI d'avoir pris le temps de lire, je compte sur vos avis pour vraiment peaufiner et arriver à quelque chose de prometteur. Qui sais, peut être votre nom au générique (sauf celui de Jamesmellange 
nn jrigole ahah)
