SOS Fantômes : Jennifer Lawrence et Emma Stone partantes pour le reboot

Ces derniers jours, les actrices Jennifer Lawrence et Rebel Wilson ont révélé qu’elles avaient rencontré le réalisateur Paul Feig pour rejoindre le reboot de SOS Fantômes. Des mails hackés de chez Sony Pictures révèlent que Lawrence serait très intéressée.

Dans un email du 24 octobre de la dirigeante de Sony, Amy Pascal, avec le producteur Ivan Reitman, on peut lire : “Je suis d’accord que tout le monde est bien trop nerveux à propos de ce film et comment nous le présentons, mais ce ne sera pas une suite des films des années 80, ce sera complètement original, avec des personnages complètement différents et notre job c’est de trouver une façon intelligente de connecter ce film à la franchise d’origine, afin de pouvoir utiliser tous ses atouts. Le film de Paul sera le premier et de ce que j’ai entendu Jennifer Lawrence, Emma Stone et Melissa McCarthy et Amy Schumer et Lizzy Caplan, ont déjà dit qu’elles voulaient en faire partie.”

Melissa McCarthy et Emma Stone étaient des suggestions faites par Bill Murray quand un journaliste lui avait demandé quel casting il souhaitait voir pour un reboot féminin. Il semblerait que Sony l’ait écouté. Mais le studio n’envisagerait pas un casting à 100% d’actrices, puisqu’il considérerait également Ryan Gosling dans un des rôles. L’acteur, qui avait été courtisé pour Suicide Squad et Doctor Strange, serait approché pour ce reboot, mais aussi pour jouer dans le spin-off Les Sinistres Six du même studio.

Par ailleurs, un autre mail hacké de chez Sony montre que le studio a envisagé assigner en justice Bill Murray, pour avoir refusé de jouer dans le reboot de SOS Fantômes, bien qu’ils aient conscience qu’une telle action menée publiquement serait dévastatrice pour l’image du studio. On peut lire un échange entre David Steinberg et Leah Weil : “Afin d’évaluer pleinement notre position si Bill Murray décline de nouveau de s’engager sur SOS Fantômes, AG demande à ce que nous trouvions des avocats agressifs avec qui nous pourrions nous consulter pour évaluer les alternatives et mener une stratégie. Personellement, bien que je sois ok pour être agressif, je pense que nous serons en plus mauvais posture si cela devenait public.”